Sam Szafran, artiste

"Quand on voit Sam Szafran manipuler les découpages en zinc des feuilles, puis en appliquer la forme au papier, en tracer les calques en papier bleu, on songe aux stratagèmes des montreurs d'ombres chinoises et des marionnettes javanaises. C'est tout un apologue qui est mené de feuille en feuille sur l'abus des sens, sur l'illusion et sur la vacuité essentielle des apparences. Extrait d'un texte de la Fondation Gianadda.

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